jeudi 23 novembre 2017

L’écriture inclusive


Cela fait quelques temps déjà que je veux écrire un article sur cette folie qui emporte un peu tout le monde. Pour la nommer : l’écriture inclusive.

Mais c’est quoi "cette bouteille de lait ?"... Heu, excusez-moi, je m’égare.

La définition : ensemble d'attentions graphiques et syntaxiques permettant d'assurer une égalité des représentations entre les femmes et les hommes.

Pour simplifier les choses, trois directions à adopter.
1. accorder en genre les noms de fonctions, grades, métiers et titres :
Exemples : "chroniqueur·euse", "chercheur·e", "transporteur·euse", "président·e",etc.
2. User du féminin et du masculin par la flexion, l’épicène ou le point milieu :
Exemples : "elles et ils font", "les candidat·e·s à la Présidence de la République", etc.
3. Ne plus utiliser de majuscules de prestige à "Femme" et "Homme" :
Exemple : "droits Humains" plutôt que "droits de l'Homme".

Super fastoche, non ?

Désolé, mais je n’adhère pas du tout à ce concept de modifier notre langue sous prétexte d’une égalité homme/femme… femme/homme plutôt ! C'est l'ordre alphabétique qui prévaut. La vraie égalité est ailleurs… dans la vie de tous les jours.

Et si on parlait juste comme ça, des salaires... de certaines religions, etc.?

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