En début de semaine, un suisse a été condamné à une peine avec sursis de 3 700 euros pour avoir "liké" sur Facebook des propos rédigés contre une personne. L’homme est le premier a être sanctionné pour avoir "liké" des commentaires écrits par d’autres, qualifiant, sans preuve, de "raciste", "fasciste" et "antisémite", le président d’une association contre les élevages et abattoirs d’animaux.
En cliquant sur le célèbre pouce levé, l’homme a propagé un jugement de valeur et des accusations qu’il n’a pas pu prouver, donc diffamation. Dans cette même affaire qui dure depuis 2015, certaines personnes ont déjà été condamnées pour leurs propos.
Le "likeur" a la possibilité de faire appel auprès du tribunal cantonal de Zurich.
Si dès lors on peut se retrouver en prison par le fait de liker sur faceboook.... où s'en va-t-on...???
RépondreSupprimerPAUVRE FRANÇE.....��
L'histoire se passe en Suisse... Sa peine est une amende, pas de prison.
Supprimermais où allons nous ? est ce possible ce qui précédé ??
RépondreSupprimerFake ? Recherche de trésorerie ? Heureusement que l'UE connait bien ses poules et ses poulets....Prêts ...? Partez...8,5 mld de prêt encore à notre chère Grèce ! Il n' y a pas de quoi danser vite épuisés !
Tout argent est bon à prendre pour le système. Les prêts alloués à la Grèce n'ont pour but que de payer les échéances des intérêts contractés auprès des banques. Peu d'argent va vraiment au pays...
SupprimerPatrimoine universel de l'UNESCO de base !
RépondreSupprimerPatrimoine mondial... toute entité administrative écartée.
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